Pour savoir où nous allons, sachons d'où nous venons

La Généalogie

est l'étude de l'histoire de la famille, principalement à travers sa lignée.


Les premiers temps

- Les premières généalogies étaient transmises par tradition orale de génération en génération. Les hommes des premiers temps pensaient qu'ils descendaient des animaux ou des plantes qu'ils ont appelées « totems ». Dans la Grèce antique et à Rome, les familles des nobles croyaient qu'ils descendaient des dieux ou des héros.

Moyen-Age

- Durant cette époque, la généalogie est devenue extrêmement importante car les rangs féodaux et la propriété des terres dépendaient de la lignée ancestrale.

Temps modernes

- Bien qu'aujourd'hui la généalogie soit légalement moins importante, tout le monde a un nom de famille.

- Un nom de famille n'est pas seulement un mot ou un son. Quand les sociétés sont devenues plus complexes, il est devenu un élément nécessaire d'un système plus efficace pour l'identification individuelle.

Classification

- Occupationnel : dérivâtes du patriarche ou l'occupation de fondateur (exemple : Charpentier, Miller). Quelquefois par la place du travail (exemple : Évêque, au lieu de Bishop, en anglais).

- Appellatif : Par une caractéristique ou attribut (exemple : Blanc, etc.).

- De places : La place du fondateur (exemple : Norma de Normandie, Rivera, etc.).

- Patronymique : Par le père (exemple : Fernández de Fernando, Erickson du fils d'Éric).

- Matronymique : Par la mère (exemple : Di Sofía).

- Maintenant, les jeunes parents ont la possibilité d'adopter, pour leur nouveau-né, un nom double composé des patronymes du père et de la mère ou tout simplement le nom du père ou de la mère. Mais la loi Gouzes fait peu d'adeptes. Les premières constatations établies en juin 2006 par La Revue française de Généalogie se confirment. Delphine de Mallevoüe revient sur ce « fiasco » dans Le Figaro du 5 janvier 2008, à l'aide de plusieurs témoignages : Pour Hélène, fonctionnaire détachée au bureau d'état civil de la clinique des Soeurs franciscaines de Versailles, « les gens pensent au micmac pour les générations d'après, à ce qui se passera quand leurs enfants se marieront et/ou donneront naissance à leur tour, à ce que deviendra l'unité de la famille ». Pour Xavier Guillemot, directeur d'un cabinet de généalogie à Lorient, « la tradition du nom du père, selon le droit latin, est encore si ancrée en France qu'elle n'est pas près de changer ». Des parents, non mariés, peuvent trouver intérêt à cette double filiation. Mais ils semblent bien les seuls : « À croire que cette loi a juste été faite pour compliquer le quotidien des notaires, des officiers de l'état civil et des généalogistes », ironise un fonctionnaire de l'état civil interrogé par le quotidien. Mêmes constats au Québec où la loi est plus ancienne. Catherine Handfield, journaliste à La Presse donne les derniers chiffres : « Alors que 21% des nouveau-nés portaient un nom de famille composé en 1992, cette proportion a chuté à 12% en 2005, selon l'Institut de la statistique du Canada. Et la descente semble se poursuivre pour la cuvée 2007. Des 475 enfants du Cahier des bébés 2007 publié dans La Presse de samedi, à peine 9% portaient deux noms ! ». Sa consoeur Lysiane Gagnon voit dans cette tendance « un retour au bon sens ». Dans un billet publié dans le même journal, cette journaliste canadienne, connue pour ses chroniques en faveur du féminisme défend le choix du nom du père : « Pourquoi donner à un enfant le patronyme de son grand-père maternel plutôt que de reconnaître pleinement son géniteur ? Choisir le nom du père permet à l'homme de confirmer sa paternité aux yeux de la société. C'est une reconnaissance symbolique dont les femmes n'ont pas besoin, elles qui ont porté l'enfant et lui ont donné naissance. Mais alors que la filiation maternelle a toujours été évidente, jusqu'à l'invention des tests d'ADN, rien ne garantissait aux hommes que l'enfant était bien le leur. Ce choix qui permet à l'homme d'afficher sa paternité renforce en même temps le lien qui l'unit à son enfant ».


- Pour moi Fernand Mico né dans ce petit village d'Algérie (Bou-Medfa) en 1942, ayant connu le déracinement, en 1962 suite à l'indépendance de ce pays, la généalogie me permet de renouer des liens, de lutter contre le refus de mémoire, me permettant de dépasser cette douleur.

- Je me suis fait un devoir de retrouver, et transmettre la trace de ces pionniers. Mes ascendants patriarcaux nés en Espagne, les : Mico, Morales, Sanchez, Colomina, Gil, Ors, etc. Et mes ascendants matriarcaux, nés en France, les : Briesach, Cote Dernier, Guyon, Grandvuillaume, Chauvin, Besancenet, Blang, etc !

- Au fur et à mesure de mes recherches, la liste s'étoffera, j'en remercie par avance tous ceux qui pourront m'aider dans cette tâche qui me tient à coeur.


  • Descendance des BREISACH, BRIESACH, et BRISACH, qui sont tous des descendants de BREYSACH jacob 1608-1675 et SCHLAEBER Margaretha 1618-1688.
  • Lignée des PEUGNIEZ.
  • Lignée des SAINT-SAENS.
  • Lignée des DUFOUR.
  • Lignée des ALBARET.

  • Départements Français ayant mis leurs archives sur internet.
  • GénéaNet : site communautaire dédié à la généalogie.
  • L'encyclopédie de la généalogie.
  • ANOM : pour l'Algérie Française, savoir si un de vos actes, de plus de 100 ans, existe aux ANOM à Aix ? (pour Bou-Medfa il n'y a que les actes de mariages).